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Une brève incursion dans l'histoire récente du Québec nous apprend que la fin du X1Xe siècle est une époque marquée par l'établissement sur notre territoire d'un régime de clubs privés. Ce régime accordaient à des groupes d'individus, appartenant à notre société ou provenant de l'étranger, des droits exclusifs de chasse et de pêche sur d'immenses portions de terres publiques.
Ainsi, avec les années, c'est une partie considérable des territoires accessibles par voie de terre qui était réservée à l'usage exclusif de quelques trente mille personnes. C'est donc dire que, si une personne n'était pas membre ou invitée d'un club privé, ses occasions de pêcher ou chasser demeuraient très limitées.
Avec le développement des loisirs de plein air et en raison des fortes restrictions imposées au libre accès, cette situation devint de plus en plus intolérable pour la population. La mise sur pied du mouvement pour l'abolition des clubs privés permit d'amorcer, au milieu des années soixante, la lutte pour l'abolition de ces clubs privés sur les territoires de la Couronne. Le dynamisme d'un de ses artisans, M. Henri Poupart, permit au mouvement de prendre un essor considérable à compter de 1970. L'ère des occupations massives des clubs par les pêcheurs commençait.
En 1978, le gouvernement du Québec céda à la pression populaire. Il ne renouvela pas les baux des clubs privés de chasse et de pêche. Cette époque est marquante dans l'histoire de la collectivité québécoise. C'est à ce moment que la population reprend possession des milieux naturels qui lui appartiennent. En balayant une tradition vieille de 95 ans, ce nouveau souffle permet enfin de donner une chance égale à toute personne qui désire avoir accès à la faune présente sur les terres publiques.
Il n'en demeure pas moins que cette démocratisation doit être concrétisée. Le gouvernement met donc en place une infrastructure territoriale nouvelle qui prend la relève de quelque 1200 clubs privés dont la superficie équivalait à la moitié du territoire du Nouveau-Brunswick. Appelés zones d'exploitation contrôlée ou, plus communément, Zecs, ces zones nouvellement crées sont confiées à des administrateurs bénévoles, élus par les membres des Zecs, qui verront à leur administration, de même qu'à la gestion de la faune qui les peuple.
Vie associative
L'année financière de la Zec Bas Saint Laurent se termine le 30 novembre et l'assemblée générale annuelle qui fait l'objet d'une convocation spécifique auprès de ses membres se tient vers la fin de mars.
Cette assemblée a pour buts:
- De soumettre aux membres les états financiers et le rapport du vérificateur comptable;
- D’élire les administrateurs;
- De nommer un vérificateur comptable;
- De prendre connaissance et de décider de toute affaire dont l’assemblée des membres peut être légalement saisi;
- Tout membre peut y soulever toute question qu’il désire.
- Les membres en profite pour adresser au conseil d'administration les sujets qu'ils veulent traiter et les problèmes qu'ils veulent résoudre dans la prochaine année.
Guillaume Ouellet | Président |
Lucien Morneau | Vice-président |
Stéphane Thériault | Administrateur |
Martin Plourde | Administrateur |
René Lepage | Trésorier |
Jérôme Dionne | Administrateur |
Denis Pineau | Secrétaire |
Julianne Dugas | Administratrice |
Alexandre Canuel | Administrateur |
Peter Camden | Directeur général (Responsable de la protection des renseignements personnels) |
Marie-Eve Ferland | Superviseur administratif et technique |
Étienne Auclair | Coordonnateur aux opérations terrain |
Pierre Desrosiers | Patrouilleur - Assistant conservation de la faune |
Sophie Dowse | Préposée à l'accueil |
Xavier Ouellet | Technicien de la faune |
Mario Guertin | Préposé à l'accueil |
Jean Leclerc | Préposé à l'accueil |
Isabelle Ouellet | Préposée à l'accueil |
Jennifer Deschesne | Préposée à l'accueil |
Roxane Bélanger | Patrouilleuse - assistant à la protection de la faune |
Préposé aux opérations | |
Jenny Proulx | Préposé à l'accueil |
Mélanie Proulx | Ouvrière de maintenance |
Denis Sirois | Ouvrier de maintenance |